Dernier jour de vacances, un temps trop lourd pour rester enfermée. Direction la forêt domaniale de Palaiseau pour une balade calme et relaxante au milieu des bruits de la nature. Il reste encore de la verdure non loin de Paris, à portée de tous. Et comme je ne suis pas une citadine, mais bien une fille de la campagne, j'ai besoin de ces chemins qui ne ressemblent pas à des parcs domestiqués. Ils sont toujours trop courts, mais donnent l'illusion d'un lien -ténu- avec les saisons et la forêt. Je regrette un peu le temps où je n'avais qu'à prendre mon vélo et faire un kilomètre ou deux pour me retrouver au milieu des champs ou de la forêt...
Mais même si la nostalgie me tient compagnie, elle ne me rendra pas indépendante...
Demain est un autre jour, plus particulièrement celui où je commence à déposer mes feuilles de papiers autobiographiques chez tous les libraires que je croise sur mon chemin citadin...
Que la nouvelle aventure commence!...
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