19.2.09

Bien dans ses pompes...

Attention, billet pétassien en puissance! (z'êtes prévenus!).

J'avoue. 
Outre les parapluies, et les macarons, je craque assez facilement sur les chaussures...
C'est le seul accessoire vestimentaire sur lequel je peux exploser mon budget très facilement et sans le moindre remords... Mon rêve superficiel : gagner un jour assez d'argent pour m'offrir une paire de grande marque (Christian qui? Marc comment? John quoi?). Pour le moment, je trouve encore cela indécent pour mes finances, donc je cherche des bons plans (au lieu d'économiser pendant des mois, ce que je suis incapable de faire...) et je bave sur mon ordi en regardant les collections en ligne. 
Les fanatiques de chaussures connaissent sûrement la marque Chié Mihara (j'en connais une en particulier qui doit être rose de plaisir à l'évocation du nom). Depuis quelque chose comme quatre ans, je louche avec insistance vers cette créatrice (et une autre au nom plus anglophone, bien que française, mais le billet viendra...). Au printemps dernier, en passant devant une boutique bien connue, je sursaute : des paires en vitrine! Il s'agissait de fait, de chaussures dessinées par Studio. Le principe : à chaque saison, André (eh oui) laisse le champ libre à un jeune créateur pour le plus grand plaisir des glouglous... Malheureusement, même si les prix étaient plus abordables que les chaussures griffées, mon portefeuille gémissait quand même de peur... Et puis, il y a quelque temps, une bonne âme que je ne remercierai jamais assez, m'a indiqué l'adresse de deux magasins de stock. Après moultes tergiversations avec mon compte en banque, j'ai finalement pris mes pieds à mon cou pour foncer vers l'un de ces lieux chaudement recommandés... Voilà le résultat: 

Quelques puristes clameront qu'il s'agit de la collection de l'an dernier et que gnagnagna... Je m'en moque! Maintenant elles sont chez moi, et j'essaierai de leur faire visiter les pavés parisiens de temps à autre...
A commencer par vendredi matin, où ma chère numéro 2, jalouse de ma névrose cendrillonienne-poppinsienne, a décidé de succomber elle aussi à ce craquage, mais à la deuxième adresse recommandée... 
Mon portefeuille tremble déjà de peur à l'idée de trouver les modèles pour lesquels il n'y avait plus ma pointure à la première adresse...

p.s. : pour info : 50 euros au lieu de 130 pour ce modèle (et de plus de 200 chez les créateurs dans le même style...). Ah et... cet Automne-Hiver, c'était Annabel Winship l'invitée surprise... (!!!!!!!!aaaaaarrrrghhhh!!!!!!! pâmoison).

1 commentaire:

Anonyme a dit…

je ne suis pas très chaussure tu le sais bien et pourtant je les trouve magnifiques!!!!!! Et je n'aurais aucun problème à ouvrir mon portefeuille et ma penderie à ces petites merveilles!
tu crois que ça peut être contagieux la folie des chaussures???
csalyad