Je pense que vous l'avez compris, je suis gourmande. J'adore cuisiner, manger, et surtout les petites friandises sucrées. Bref, j'aime me faire plaisir. Mais depuis trois ans, il était devenu impossible de mettre la langue sur mes sucettes préférées. J'ai erré dans la galaxie google, je ne parvenais pas à trouver la forme et le goût de celle de mon enfance. Aucune trace dans les magasins, même à l'unité. Ma boulangère appelée en renfort, avait contacté en vain ses fournisseurs. J'avais réussi à me faire une raison, et par dépit, elle me fournissait donc en sucettes Barnier, succulentes certes, mais simples ersatz de ma nostalgie... Et l'autre jour, en passant à la caisse du supermarché, je lève les yeux, et vlan, tétanisée, je vois un unique petit paquet tout abîmé de mes gourmandises tant recherchées, là, sur le présentoir. Elles existent encore! Je me précipite, et hop! sur le tapis!
La délicatesse avec laquelle j'ai ouvert le paquet une fois rentrée, le craquement du papier qui vient tout seul, et surtout ce goût, souvenir des retours de l'école... un vrai bonheur! En attendant d'en retrouver, je rationne celles que j'ai. Tout un cérémonial se déroule autour de mon petit instant sucré de la semaine. J'ai l'impression d'être Charlie dans la chocolaterie .
Je sais, je perd les pédales. Mais que c'est bon!
2 commentaires:
Je me dirais pas tout fort ce que je pense, mais je le pense :D
Faut que j'arrête de lire Freud moi! :D
je ne dirai rien sur ce que je pense que tu penses, je te tirerai simplement la langue... :p esprit trop freudien! :D
Enregistrer un commentaire